Percubaba...

Dans la lignée des plus grands groupes de scène français, Percubaba retrouvera à nouveau un large public en 2008. Déjà en 2007 - à travers près de 100 concerts et festivals - plus de 90 000 spectateurs ont témoigné leur engouement pour une performance musicale et scénique peu égalée.

Alors que de nombreux groupes dits festifs n'ont pas su renouveler leur univers musicaux, Percubaba délivre un singulier équilibre, brut et complexe, de rock, reggae et de hip-hop. Des sonorités électroniques inédites amènent aujourd'hui d'heureuses digressions vers le dub ou encore la jungle. Le groupe s'affirme au-delà des étiquettes et des préjugés, par la qualité de ses alliances musicales et la puissance scénique de ses 11 musiciens.

Dans un hexagone où prévaut souvent une monochromie rock, Percubaba s'inspire d'une énergie outre-Atlantique, celle de la scène new-yorkaise et des expériences hybrides de Balkan Beat Box ou encore de Gogol Bordello. Côté ouest, les riddims de Groundation viennent également nourrir leur dessein. Cependant, le groupe demeure fidèle à une culture scénique française, qui n'est pas sans évoquer feu-la Mano Negra. Le public ne s'y méprend pas. Il gratifie ce groupe qui lui dévoile sur scène, plus de 10 ans d'expérience musicale et d'épopées. Durant le printemps et l'été 2008, Percubaba remonte donc dans le bus pour de nombreuses performances.

:::AntistatiQ - l'album:::

AntistatiQ, troisième opus du groupe, est sorti en octobre 2006. Il s'est dores-et-déjà vendu à 9 000 exemplaires. Ce succès notable dans un paysage musical en mutation, est le résultat d'une pratique d'autoproduction persistante. L'album témoigne de l'indépendance créatrice du groupe aussi bien que d'une appréciable qualité de production. Comme à l'accoutumé, s'y sont associés de nombreux énergies et invités, dont Guizmo de Tryo - compagnon de la première heure - qu'on retrouve sur le titre G8.

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